Dune aussi bien que le livre, malgré que la vielleuse la achever.
Shinning !!!! (no comment)
Bridget Jones, le bouquin ma achevé en 10 pages, le film ... est somme tout pas si mal
!
L'histoire sans fin, le 1, aussi bien que le livre (même si l'un comme l'autre on souffert de publicité mensonger
).
Malheureusement les cas contraires, sont sujets d'écoles, tant ils sont nombreux.
Je le répète, la construction narrative et dramaturgique, d'un film diffus totalement d'un livre.
Même si il existe un rapport fort dans l'écriture du scénario a la littérature.
Il existe aussi des points commun dans le langage et aussi dans la construction, on parle souvent de " flashback" (ma prof de français de 2nd va me tapé si elle passe par ici.Mdr)...
Ces relations existent aussi, avec un rapport cinéma/peinture. Cinéma / musique.
La différence porte essentiellement sur le faite que " l'histoire " est l'intérêt premier du spectateur/lecteur, de livre et de film.
On pense moins souvent qu'une peinture raconte une histoire et pareille pour une musique. Pourtant ne dit on pas souvent " J'aime bien les paroles de cette musique".
Bien souvent, la peinture, la musique, la sculpture sont des arts "esthétiques", pour leurs "spectateur/auditeur", idem pour la littérature et le cinéma, mais on y pense pas réellement
(Le nombre de chanson que l'on écoute juste pour le "beat", ou le rythme).
Souvent, les cinéastes garde le rythme et la continuité scénaristique d'un livre.
Ca ne peut pas marché.
Un livre fait 1 000pages... (Facile, écris en petit avec pas de marge)
Un scénario d'un long métrage... Fait ... 100 pages (on dit souvent 1pages= 1minute, c'est plus ou moins vrai; mais ça reste relativement juste avec 10% de marge).
Donc imaginé bien le problème d'adaptation, on reproche souvent d'avoir "trahis l'auteur du livre", en supprimant certaine chose ou en changeant certain point de vu.
Bien souvent un bon cinéaste aura tout mis dans la mise en scène, remplacent, les longues descriptions remplacées par certains décors, les angoisses, la lumière, les signe cabalistique (voir Spielberg " un univers de jeux).
De plus le film est une oeuvre d'art, l'auteur est donc un artiste, il se doit donc de récupérer, "consommer", s'inspirer, apprendre, et créer quelques choses.
Il doit mettre sa personnalité, son truc dans le film !!
(Cf Sam Raimi avec Spider man ! Comment ça c'est pas la même chose ? Le comics, bande dessiné est très proches de la littérature... ! Et pis d'abord la première copine de Spiderman ce n’est pas Marie Jane! bouh :'( !)
Bref, le seul reproche globale que l'on peut faire au film personnelle de Burton, c'est qu'il na pas réellement "osé", il a cédé a la facilité, en faisant un film "guimauve", la reste facile du successif sans le p'ti truc, une épice exotique ? ... qui aurait fait toute la différence... ! C'est du calculé ...
Enfin félicitons quand même Deep Roy pour les Oompa Lompas.
Citons aussi, Le procès de Kafka adapter par Wells.